Le coolsculpting® pour diminuer un double menton

Lié généralement au surpoids et aggravé, avec l’âge, par le relâchement des tissus, le double menton déforme le visage et en affecte l’harmonie.

Il peut toutefois être réduit aujourd’hui de façon significative grâce au coolsculpting®, appelé également cryolipolyse.

Cette technique de médecine esthétique non invasive (sans incision, ni anesthésie) et réalisée au cabinet du médecin, a la capacité de détruire les cellules adipeuses par le froid. Elle consiste à isoler la zone à traiter (pour ne pas toucher les tissus voisins) et à la porter à très basse température.

Une sensation de froid intense est ressentie en tout début de séance mais très vite, la région traitée est insensibilisée par le froid. L’intervention devient dès lors complètement indolore.

Les activités de la vie quotidienne et professionnelles peuvent d’ailleurs reprendre immédiatement après le traitement. Les cellules graisseuses détruites vont être ensuite éliminées progressivement par l’organisme.

Le résultat n’est donc pas visible immédiatement mais au bout de quatre semaines. Il peut être considéré comme définitif au bout de 10 à 12 semaines. Le résultat sur le double menton est définitif à condition que le patient conserve une bonne hygiène alimentaire et ne prenne pas de poids.

Une séance de coolsculpting® suffit habituellement pour le double menton, mais une deuxième peut être nécessaire si le volume de graisse à l’éliminer est important. Les deux séances de cryolipolyse sont alors espacées de 12 semaines.

Si le coolsculpting® permet de réduire efficacement le double menton, dans certains cas, lorsque notamment les tissus sont très relâchés, une intervention chirurgicale telle qu’une lipoaspiration sous-mentonnière ou un lifting du bas du visage sera recommandée.

Les conditions et modalités du traitement du double menton par la technique du coolsculpting® sont définies au cas par cas avec le Dr Vasseur en consultation, en fonction de l’importance de la zone à traiter et de l’état de la peau du patient.

Dernière modification : 23/12/2016